Photo Marc Bousquet

MON EXPERIENCE DE L'OSTEOPATHIE ET DE LA KINESITHERAPIE

Diplômé de masso-kinésithérapie à l’école de l‘APHP, je débute ma carrière en milieu hospitalier, à l’hôpital Broussais, en cardiologie, orthopédie, chirurgie digestive.

Après cinq ans de cet apprentissage dans des services de pointe, je commence un exercice libéral de ma profession, par des remplacements en province et région parisienne, parallèlement à mes études d’ostéopathie. 

J’entreprends aussi des études de médecine chinoise avec Thierry Gaurier et Jean Borsarello et des études d’ostéopathie au Collège Ostéopathique Atman , aboutissant à un diplôme en 1992.

En 1990-91, je participe à une mission humanitaire au Salvador, avec Médecins sans frontières et d’autres ONG.

De 1992 à 1996, je pratique l’ostéopathie et la kinésithérapie en tant qu’assistant dans différents cabinets, avec les aléas de l’autorisation de l’exercice de l’ostéopathie, officialisée par la loi Kouchner en 2002, et par décrets en 2007.

Je suis spécialiste en kinésithérapie du sport, diplômé en 1987 de l’Université de Bobigny, intervenant auprès de footballeurs et de golfeurs professionnels.

Je suis aussi expert en thérapies vasculaires, drainage lymphatique manuel et en endermologie (cellu M6).

Depuis 1996, J’exerce dans mon propre cabinet d’ostéopathie et de kinésithérapie à Paris 75008.

Mon activité en quelques chiffres

1
Séances d'ostéopathie par jour
20000
Séances d'ostéopathie
1
spécialisations médicales

MA VISION DE L'OSTEOPATHIE ET DE LA KINESITHERAPIE

Je considère depuis toujours que l’exercice des deux professions d’ostéopathe et de kinésithérapeute est possible, mais de plus, souhaitable. En effet, les connaissances médicales du kinésithérapeute, amène à l’ostéopathe expérience et sûreté devant toute pathologie.

La pratique de la kinésithérapie maintient l’ostéopathe dans l’actualité médicale et permet de donner un prolongement de soins direct et de conseils éclairés après l’expertise de l’ostéopathe.

J’effectue cinq à six séances d’ostéopathie par jour, avec un total de 20 à 30 000 séances prodiguées : le suivi en kinésithérapie ne peut pas nuire à cette pratique intensive.

Même si des associations d’ostéopathes autonommés « exclusif », c’est-à-dire n’étant pas médecins ou kinésithérapeutes, ne veulent pas coopérer avec les autres ostéopathes et voudraient dissocier l’ostéopathie des disciplines médicales. Je pense, personnellement, que la culture médicale, les stages hospitaliers, les concours et longues études médicales en paramédicales sont un atout majeur de la pratique de l’ostéopathie et garants de la sécurité et de l’efficacité des soins.